Avant d’étudier en Espagne, j’ai fait deux P1 de médecine à l’université P7 à Paris. Avant de visiter l’université et de m’y inscrire, j’étais toujours dans l’attente de mes résultats donc je n’avais pas vraiment considéré l’option de partir à l’étranger. Si jamais je n’étais pris ni en médecine, ni en kiné, je pensais faire une école d’ostéopathie. En parlant avec un ostéopathe, il m’a conseillé de penser à une autre option, vu l’augmentation chaque année du nombre d’étudiants en ostéopathie. C’est à ce moment que ma mère m’a parlé de la possibilité d’aller étudier en Espagne, possibilité qu’elle a connue grâce à FEEDUC.
En sortant de médecine, je ne voulais pas repartir dans une série de concours, je voulais être fixé rapidement, mais j’avais envie de rester dans le domaine médical/paramédical, sachant que pharmacie ou biologie ne m’attiraient pas du tout, cela ne laissait plus beaucoup de choix. C’était ostéopathie ou alors partir à l’étranger. La Belgique, à cause de son processus d’inscription, et la Roumanie, ne m’attiraient pas du tout. Parlant un peu espagnol, on a commencé, grâce à FEEDUC, à nous pencher sur les possibilités d’étudier en Espagne. On a donc décidé d’aller visiter l’UEM pour se faire une idée. J’y suis allé avec quelques réserves, mais la visite du campus et surtout l’entretien avec la directrice de kiné, son discours et le programme de l’université pour kiné m’a énormément plu et j’ai très vite été conquis, puisque je suis ressorti de l’entretien en étant inscrit à l’université.
Partir étudier en Espagne à été le meilleur choix que j’aurai pu faire après mon échec en médecine, et ce à plusieurs niveaux.
L’université, et notamment les professeurs, sont très accueillants et disponibles, ce qui nous permet de nous sentir rassurés, surtout au début du cursus.
Etant en classe espagnole, j’ai ainsi pu rencontrer des espagnols, des italiens et des français, et c’est cette mixité qui me plait beaucoup, et qui est représentée dans la photo. De plus, l’université propose une liste très intéressante et variée de stage et d’évènements sportifs (ou non) sur lesquels nous sommes invités à nous rendre en tant que kiné, permettant de pratiquer sur des patients réels en dehors des stages.
Enfin, étudier en Espagne me permet de maîtriser trois langues (français, anglais, espagnol).
Un grand merci à FEEDUC pour l’accompagnement proposé dès le processus d’inscription et pour sa disponibilité. J’ai découvert et j’apprécie la vie d’expatrié en Espagne, je fais des études qui me plaisent énormément et ça n’aurait pas été possible sans vous.
Photo avec quelques amis lors d’un duathlon, où l’université nous a permis de pratiquer sur des sportifs après la course. Kiné en Espagne, c’est aussi ça : une bande de potes internationale (français, italiens et espagnols), qui travaille ensemble dans une super ambiance.
Novembre 2016
Antoine B